Wednesday, 7 October 2015

Comment donner un coup de pouce à son métabolisme




Le monde se divise en deux catégories : ceux qui passent devant une boulangerie et prennent du poids juste en sentant l’odeur des viennoiseries, et ceux qui s’enfilent deux pains au chocolat sans prendre un gramme. (J’exagère pour la narration mais c’est à peu près ça).

Nous sommes bel et bien inégaux face à la prise de poids, de la même façon que mère nature nous a gratifié d’yeux marrons ou d’une crinière flamboyante, elle nous a doté d’un métabolisme plus ou moins paresseux.

Est-ce une fatalité ?

Sommes-nous donc, si tant est que nous fassions partie des pauvres feignants du métabolisme, condamnés à grossir ou à nous priver éternellement ?

Non, ouf !

D’une part, un métabolisme bas n’est pas une fatalité, et d’autre part, je vous rappelle que notre organisme est une super machine, qui est censé nous indiquer parfaitement ce dont on a besoin.
Ce qui veut dire que ceux qui brûlent naturellement moins de calories, doivent théoriquement avoir moins faim et être plus vite rassasiés que les autres énervés du métabolisme. Ainsi, manger moins ne devrait donc pas être une frustration pour eux.

Comment booster son métabolisme l’air de rien (ou presque) ?

  •  En le forçant à lutter contre le froid. Attention, il ne s’agit pas de sortir en t-shirt en plein hiver, mais vous pouvez par exemple : baisser d’un ou deux degré la température de votre appartement notamment de votre chambre (en plus ça fait faire des économies de chauffages !), voire dormir la fenêtre ouverte.
  •  Dans le même ordre d’idée : une simple douche fraîche ferait brûler presque 100 calories à votre organisme (et c’est bon pour la peau).
  •  Faites du sport régulièrement : ok, rien de révolutionnaire là-dedans : faire du sport fait brûler des calories. Mais au-delà de ça, faire du sport régulièrement vous permet d’augmenter votre masse musculaire, et le muscle est très friand de calories (contrairement à notre masse grasse qui est totalement inerte, la feignasse). Ainsi, une femme plus musclée qu’une autre (à poids égal) va brûler davantage de calories, même dans les bras de Morphée.
  •   Faites plusieurs petits repas : chaque repas met en route la digestion, qui engendre une dépense calorique. Attention, il ne s’agit pas de manger d’avantage, mais juste de répartir notre alimentation sur 4 repas plutôt que sur 3, voire 2 pour certains.
  •  Dormez suffisamment : déjà parce que vous évitez un stress à votre organisme en lui laissant le temps de régénérer ses cellules, et le stress pousse non seulement à grignoter, mais aussi à stocker. Mais aussi tout bêtement parce que, plus votre temps de sommeil est long, plus  votre temps d’éveil est court et moins vous avez l’opportunité d’avoir faim et de grignoter.
  •  Mangez suffisamment, et surtout ne diabolisez pas les féculents et le pain ! Comme expliqué précédemment, l’organisme a une grande faculté d'adaptation pour faire face aux difficultés qu’il rencontre. Si vous le privez d’énergie sur le long terme, et plus spécifiquement de glucides, il va finir par ajuster ses dépenses à ses apports en brûlant moins.
  • Mangez épicé : les épices stimulent le système digestif et contribue donc à augmenter la dépense calorique lors de la digestion. 

Je ne pourrais pas conclure sans ma sempiternelle recommandation de base : écoutez les signaux que vous envoie votre corps, ils sont les meilleurs indicateurs de vos besoins caloriques !

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