Tuesday, 15 September 2015

Maigrir en couple : le casse-tête de Jules et de Julie


Les statistiques le montrent : la vie de couple a tendance à faire grossir. L’explication est simple : on a tendance à sortir moins, on multiplie les repas aux chandelles, on privilégie le cocooning aux activité sportive et entre plaisir gustatif et plaisir charnel il n'y a qu'un pas...

Or, se mettre au régime en couple est souvent voué à l’échec : les repas sont le principal moment de partage et de convivialité, il n’est donc pas question de faire « table à part »  au risque de plaquer votre régime à peine commencé. Jules et Julie en savent quelque chose …


Leurs problèmes :

- Tout d’abord : Jules et Julie n’ont pas les mêmes besoins et sont inégaux fasse à la prise de poids. Effectivement, à poids et taille identiques, Jules a une proportion de masse musculaire plus importante, et brûle donc davantage de calories que Julie.

- Julie a quelques kilos en trop, essaye régulièrement de se « mettre au régime » en vain, sa gourmandise et les régimes fantaisistes qu’elle s’impose régulièrement ont eu raison d’elle …

- Par ailleurs, si Jules n’est pas réellement au régime (il a bien un petit ventre naissant mais compte sur la reprise du sport très prochainement pour en venir à bout), il n’aime pas se sentir « puni ». Il a un penchant pour les plats « caloriques » (pizza, hamburger, pâtes à la carbonara) dont Julie ne devrait pas le priver (au risque de crises conjugales !).

Leurs solutions :

 Jules a besoin de quantités plus importantes (notamment de pain et de féculent) que Julie, et va pouvoir s’autoriser plus facilement des ajouts de sauce et de matière grasse sans en payer le prix sur la balance ! Jules et Julie peuvent partager les même menus, mais ils devront prendre soin d’adapter les quantités : quand Julie doit idéalement choisir entre un morceau de pain ou des féculents (pâtes, riz), Jules peut cumuler les deux. Et si Julie doit limiter le beurre dans les pâtes, Jules pourra même y ajouter du parmesan … (life is so unfair)

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Julie peut aussi adapter les recettes « riches » préférées de Jules, version légère  En effet, même si Jules n’a pas besoin de perdre du poids, il ne pourra pas se sacrifier éternellement.  Mais comme il veut aussi être un peu solidaire de Julie, il sera ravi de tester les recettes légères concoctées par ses soins.

Les recettes light  à partager :

 La pizza light : Julie pourra utiliser de la pâte à pain et la garnir d’un coulis de tomate, de légumes finement émincés (oignons, champignons, courgettes selon vos goûts), d’une protéine maigre (jambon, bacon, poulet, thon …) et d’une pincée de râpé. A servir avec une salade verte, Jules n’y verra que du feu !

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Le hamburger light : un steak haché à 5% de matière grasse, de la sauce barbecue ou ketchup (légèrement sucrées mais pas grasses), salade et tomate, une tranche de merzer (fromage naturellement léger) et le tour est joué ! Jules pourra même y ajouter des frites au four.

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Pâtes carbonara : avec de la crème fraîche légère (15 voire 8%), en remplaçant les lardons par des allumettes de bacon et en limitant le parmesan à quelques pincées … moins écœurante mais aussi goûtue que la vraie recette, Jules va probablement vouloir se resservir.

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Pâtes bolognaises : du steak haché maigre (5% de MG), une goutte d’huile pour faire revenir oignons, champignons et carottes finement hachés, un coulis de tomates nature et le tour est joué. Julie n’oubliera pas les épices et herbes (origan) qui ajouteront beaucoup de saveur sans calories.

Le sport, c’est mieux à deux !

Jules et Julie peuvent se motiver mutuellement. Quel que soit leur choix, l’important est d’y prendre plaisir : tennis, jogging, balade à vélo, randonnée …  ils pourront ainsi profiter à deux de la montée de sérotonine (hormone du bien-être et du contrôle de l’appétit) secrétée après un effort prolongé.
 


Wednesday, 9 September 2015

Reconnaître et respecter la satiété : la clé de la minceur



Ressentir la satiété : cela semble une évidence, une banalité. A tort, car nombreux sont ceux qui  ne savent pas l’identifier, la reconnaître et surtout la respecter.
Pour eux, la satiété est souvent résumée à un ventre (trop) plein voire distendu. Or, à ce stade, la satiété a déjà été largement dépassée.




Qu’est-ce que la satiété ?

Il faut distinguer la satiété du rassasiement. La satiété est l’état de non-faim physiologique : (l’organisme a reçu l’énergie dont il avait besoin et on ne ressent plus de besoin physique de manger), alors que le rassasiement est la disparition de l’envie de manger d’un aliment spécifique. Ainsi, vous pouvez être rassasié d’un plat principal (sans forcément avoir terminé votre assiette) mais avoir encore faim pour un dessert.  Ce n’est qu’à la fin du repas, quand vous n’avez plus besoin de rien, que la satiété arrive.

Comment reconnaître sa satiété ?

Le premier point important à soulever est que, pour pouvoir ressentir la satiété, il faut au préalable avoir ressenti la faim. Cela peut paraître évident mais là encore, la faim est une sensation qui n’est pas forcément éprouvée par tout le monde, et ceci pour plusieurs raisons :
-          La 1ère : la vie en société fait que les repas sont souvent pris à heures fixes, prédéfinies, même si la faim n’est pas encore arrivée. Par exemple, on se lève et on prend son petit déjeuner avant de partir travailler, même si la faim n’est pas réelle. Puis, on déjeune  à 12h30 avec les collègues parce que c’est l’heure de la pause déjeuner, et ainsi de suite…
-          La 2ème : il est fréquent de confondre plusieurs sensations, et ainsi de prendre pour de la faim ce qui est en fait de la frustration,  de l’anxiété ou même de la soif.

Ainsi, si l’on se met à manger sans faim, il est impossible de reconnaître la satiété (état de non faim).

Savoir reconnaître la faim :

Physiologiquement, la faim est une sensation qui apparaît quand le niveau de glycogène (sucre) du foie descend en dessous d’un certain niveau. De nos jours, il est rare que nous laissions vraiment la faim arriver à cause de l’habitude du grignotage : un carré de chocolat par ci, un capuccino ou un verre de jus d’orange par-là, tout autant de prises alimentaires qui paraissent insignifiantes mais qui contribuent à entretenir ce fameux stocke de glycogène dans le foie et donc la « non-faim ».
La faim réelle est associée à plusieurs symptômes, tels que : les gargouillis dans le ventre, la sensation de ventre vide, une légère fatigue parfois associée à une petite faiblesse physique ou une sensation de froid.
Une fois la sensation de faim bien installée, vous êtes prêt à reconnaître la satiété.

Ecouter ses envies, ses sensations :

Le corps humain est une machine parfaitement bien rodée : en effet, nos besoins nutritionnels sont dictés par des envies qu’il est primordial de savoir écouter et prendre en compte. C’est pourquoi, lorsque l’on est carencé en protéines, on a tendance à trouver particulièrement attrayants les aliments qui en sont bien pourvus (poisson, viande, œufs).
Puis, le plaisir gustatif que l’on va ressentir en les mangeant sera en corrélation direct avec les besoins nutritionnels de notre organisme à ce moment précis, concrètement : plus l’organisme a besoin de protéines, plus on prend du plaisir à manger les aliments qui en sont riches, et plus on en mange, moins l’organisme en a besoin, plus le plaisir s’amoindrit. D’où l’importance d’être attentif au plaisir procuré par la nourriture et à la baisse du plaisir.
C’est aussi pourquoi il peut être difficile de se sentir rassasié avec une assiette d’haricots-verts (aussi grosse soit-elle) ou des yaourts à 0% de matière grasse et non sucrés si, au moment où vous les mangez, vous aviez en réalité besoin de sucres ou de graisses.

Se faire plaisir :

Car le plaisir et la plénitude obtenus en mangeant quelque chose qui vous a fait très envie (cf plus haut : donc à priori dont votre organisme avait besoin) est la meilleur façon de ressentir cette fameuse satiété plus rapidement et donc de ne pas manger au-delà de ses besoins.

Prendre son temps :

Il ne faut pas oublier que le message de la satiété met environ 20 minutes à arriver au cerveau, et qu’il est largement perturbé par une activité parallèle pendant le repas. Ainsi :
-          Un repas pris devant la télévision ou devant un écran d’ordinateur au travail risque d’être plus « copieux » qu’il ne devrait, car la sensation de faim est biaisée par le peu d’attention qu’on porte à son repas.
-          Un repas pris sur le pouce ou avalé très rapidement risque lui aussi d’être plus riche, car pendant le laps de temps entre lequel l’organisme a reçu l’énergie et les nutriments dont il avait besoin et l’information de la satiété est relayée au cerveau : le nombre de calories ingurgitées est plus important que pour quelqu’un qui mange lentement.

Ne pas se sentir obligé de finir son assiette !

Si reconnaître la satiété est une chose, s’arrêter de manger à ce moment-là en est une autre, et pas des moindres ! En effet, il peut être délicat de ne pas terminer son assiette lors d’une invitation,  de laisser d’un plat savoureux sous prétexte que la satiété est arrivée, ou encore de faire fi de toute une éducation reçue se résumant à « finis ton assiette ! » .
Tout d’abord, gardez-bien en tête que ne pas finir son assiette ne signifie pas forcément « jeter » et donc « gâcher ». Rien ne vous empêche de mettre vos restes sous cellophane dans le réfrigérateur, ou de le proposer à un voisin de table /enfant/ mari plus gourmand ou affamé que vous … Si aucune de ces solutions n’est envisageable, vous pouvez vous poser la question suivante « en quoi la fin de cette assiette est-elle moins gâchée dans mon estomac que dans la poubelle, sachant que mon organisme n’en a plus besoin et que tout excès est potentiellement mauvais pour la santé ? ».


Pour perdre du poids ou maintenir son poids de forme, il primordial de savoir écouter son corps et ses sensations alimentaires (envie, faim et satiété) directement dictées par nos besoins physiologiques.
Ainsi, il est temps de faire fi de tout un lot de "règles" alimentaires ( "il faut manger à heure fixe" "5 fruits et légumes par jour" "supprimer les aliments trop gras, trop sucrés" "il faut un produits laitiers à chaque repas" "il ne faut absolument pas grignoter entre les repas" etc. ) qui court-circuitent votre horloge biologique et perturbent son bon fonctionnement.





Tuesday, 1 September 2015

Attaquez la rentrée en forme sans les formes!


L’été s’achève et laisse place à la rentrée, non sans douleur ! Qui peut se vanter de ne pas souffrir de la petite déprime « fin de vacances » ? (Certainement pas moi)  Dire à l’année prochaine à la plage, aux longues journées ensoleillées et au farniente n’est jamais chose facile …
Mais ne nous laissons pas envahir par le blues saisonnier et tachons d’attaquer la rentrée du bon pied. Mes astuces pour reprendre le rythme en forme, reposée et sereine :

On garde le bénéfice du repos accumulé
Finies les grasses mat’, on reprend le rythme effréné de la rentrée : métro-boulot-dodo, rentrée des classes des enfants et organisation familiale. Les nuits à rallonge des vacances semblent déjà loin, alors comment prolonger le bénéfice « repos » des vacances ?
N’oubliez pas que l’alimentation a un rôle important dans la forme physique. Un repas lourd, riche en graisses et en sucres provoque ce qu’on appelle le « coup de barre » postprandiale, à savoir la grande fatigue ressentie pendant la digestion (traduction : quand on lutte pour ne pas s’endormir sur notre clavier à 14h).
Ainsi, essayez de privilégier un petit déjeuner consistant : source de glucides complexes (pain, céréales), de protéines (lait, laitage, fromage ou encore jambon, œuf) et de fruit ou jus de fruit frais pour les vitamines. Il vous permettra de tenir jusqu’au déjeuner.
Puis, faites un déjeuner copieux (c’est le repas principal le plus important) mais digeste : une protéine maigre (viande grillée, poisson, jambon …), des légumes et fruits frais (de préférence cuits, en potage ou en purée …) en évitant les moins digestes (choux, poireaux, oignons …), une petite portion de féculents ou de pain, et un produit laitier (laitage pas trop gras de préférence).  Evitez surtout les aliments gras, en sauce, les fritures qui sont les plus difficiles à digérer.
 Ce déjeuner vous permettra de tenir l’après-midi sans pour autant piquer du nez sur votre bureau.
Enfin, votre dîner gagnera à être léger, pour ne pas perturber votre sommeil. Sur le même schéma que votre déjeuner, vous pourrez éventuellement et selon votre appétit, en diminuer un peu les quantités.
Bien entendu, limitez l’alcool (qui fatigue) et les stimulants (café notamment) qui risquent de vous exciter et au final vous fatiguer davantage.
Enfin, une activité physique douce et régulière (marche, vélo, gymnastique), vous permettra de garder la forme en vous faisant secréter des endorphines (hormones du bien-être) !
On perd les quelques kilos pris l’été, au rythme des glaces, beignets et barbecues …
C’est bien souvent que le retour des vacances est marqué par une pesée quelque peu déplaisante … à savoir un petit bonus sur la balance.
C’est le résultat des repas à rallonge, des apéros qui se succèdent, des glaces tentatrices et autres douceurs de l’été, cumulées au peu d’activité physique (transat, plage) !
Ainsi, en suivant les conseils repas ci-dessus, et en prenant soin de limiter les matières grasses d’assaisonnement (une cuillère d’huile ou une noix de beurre par repas sont amplement suffisants) ainsi que les portions de pain et de féculents, vous devriez très vite effacer ces petits kilos d’été !
On prolonge son bronzage tout en réparant sa peau agressée par le soleil
Les nutriments « bonne mine » :
  1. Les caroténoïdes  : Ce sont les champions toutes catégories. Ils sont des pigments jaunes, oranges ou rouge que l’on trouve dans de nombreux végétaux et dont la consommation régulière a tendance à colorer la peau du consommateur. Les plus répandus sont le béta-carotène (très présent dans les carottes, mais aussi les abricots, le melon, les courges, la mangue et les patates douces) et le lycopène (dans la tomate). Leur consommation régulière permettra de prolonger votre hâle !
  2. La vitamine A : Elle favorise la régénération des cellules de la peau, et est donc indispensable à sa souplesse et son élasticité. Par ailleurs, elle prévient l’apparition des rides et des marques de vieillissement cutané. On la trouve dans : le lait, beurre,  le foie et les poissons gras.
  3. La vitamine C : Antioxydant reconnu, elle maintient également la souplesse de la peau et aide à sa régénération après l’exposition au soleil.
Source : les végétaux frais, et essentiellement : les agrumes, le kiwi, le cassis, mais aussi le persil et le choux.
NB : La vitamine C étant sensible à la cuisson, consommez de préférence ces aliments crus.

  1. La vitamine E : c’est un puissant antioxydant. Elle permet également de préserver la souplesse de la peau en maintenant son hydratation.
Sources : les poissons gras, le foie des poissons maigres (ne faites pas la grimace c'est très bon!) (foie de morue, de lotte) l’huile d’olive, de noix
  1. Le sélénium : c’est un oligo-élément qui agit en synergie avec la vitamine E pour protéger les membranes cellulaires contre l'oxydation provoquée par les radicaux libres (suite aux expositions prolongées au soleil par exemple !).
  2. L’eau : On boit beaucoup et régulièrement !  En effet, un apport hydrique suffisant est également primordial pour la peau et le teint. Ainsi, boire 1 litre à 1.5 litre d’eau par jour permet de maintenir une bonne hydratation de la peau.
Boire le matin au réveil permet également de relancer le système digestif en douceur,  désintoxiquer l’organisme et éclaircir le teint.


Voilà mes quelques conseils simples et efficaces pour que l’été reste un doux souvenir : à vous la bonne mine et le repos, et exit les kilos.

Vous voici prêts à aborder la rentrée dans les meilleures dispositions !

Friday, 14 August 2015

Alerte aux régimes carencés en plaisir!



La grande majorité des régimes sont abandonnés précocement pour cause de lassitude, contraintes et frustrations. Les raisons : des régimes trop stricts, peu personnalisés, monotones et sans saveur … bref, des régimes carencés en … plaisir ! Une carence redoutable donc, puisqu’il est impossible sur le long terme de se priver du plaisir de manger, essentiel aussi bien à l’épanouissement (personnel et social) qu'à l’équilibre psychologique.


 Attention : se faire plaisir ne veut pas dire consommer de façon compulsive des aliments riches, sans avoir faim. Ces pulsions alimentaires se déroulantt souvent en cachette et sans plaisir, elles sont suivies de culpabilité. Il n’en ressort donc rien de positif.
 Se faire plaisir c’est déjà manger lorsque la faim est bien présente : quand l’organisme a besoin de calories, il nous le fait savoir en nous envoyant les signaux de la faim (creux dans l’estomac, gargouillis, crampes, baisse d’énergie). Une fois la faim installée, il faut essayer d’être à l’écoute de nos envies. Celles-ci traduisent généralement assez bien les besoins en nutriments de notre organisme : un manque de fer pourra s’exprimer par une envie de viande saignante, une légère hypoglycémie par l’envie d’une assiette de pâtes (al dente, elles sont ainsi absorbées plus lentement par l’organisme, avec un index glycémique plus bas), un manque de vitamine C par un besoin de crudités ou de fruits etc
 Mais si ces théories sont valables pour les personnes n’ayant pas de « problèmes de poids » et souhaitant juste garder leur poids de forme, elles sont plus difficiles à suivre dès lors qu’il y a un souhait d’amaigrissement…

 Comment se faire plaisir « raisonnablement » ?

 Cela n’est pas forcément évident pour tout le monde, car la plupart du temps, les aliments qui nous procurent du plaisir sont les aliments riches en graisses et en sucre. C’est pourquoi, je vous propose quelques astuces simples pour agrémenter vos plats mais aussi votre assiette de notes savoureuses et de touches appétissantes (car le plaisir du palet passe aussi par celui de tous les autres sens, et notamment celui des yeux !)

 Usez et abusez des herbes aromatiques, épices et aromates. 

L’ennemi numéro un du régime est la fadeur ! Manger sans plaisir est voué à l’échec. Or, quand on fait attention à sa ligne, on réduit les matières grasses qui ont la faculté d’apporter de la saveur et de l’onctuosité aux préparations les plus basiques.
Ainsi, les herbes fraîches, sèches, les épices et les aromates sont autant de façons de donner des saveurs et des couleurs à nos assiettes. Un peu de basilique sur des tomates en rondelles, un peu de coriandre dans une purée de carottes, du curry dans un riz basmati, du piment dans des pâtes, de l’origan dans une sauce tomate … peuvent suffire à satisfaire vos papilles sans ajouter de calories!
 Faites-vous de jolies assiettes Je ne le dirai jamais assez : l’aspect visuel de notre assiette joue considérablement sur le plaisir que nous avons à la déguster. Ainsi, prenez le temps de vous faire de belles présentations, en mangeant dans de la belle vaisselle (non aux couverts en plastique !) et en mettant de la couleur dans nos assiettes.
Par exemple : ne préparez pas un dos de cabillaud avec un riz blanc (repas blanc = fade), mais ajoutez un peu de persil sur le poisson et du safran dans le riz et pourquoi pas quelques tomates cerises pour la décoration.

 Pensez aux condiments : oignons, échalottes, cornichons …

 Là encore, ces aliments ont le bénéfice d’apporter beaucoup de goût pour une quantité négligeable de calories. Vous pouvez ainsi vous faire, dans une poêle anti-adhésive et avec très peu de matière grasse une bavette (viande maigre), avec une fondue d’échalotes, ou dans une cocotte en fonte un filet mignon de porc aux petits oignons. Vous pouvez remplacer dans un sandwich au jambon le beurre ou la mayonnaise par un peu de moutarde et de cornichons.

 Comment se faire plaisir sans interdits absolus, en respectant nos goûts, souhaits et mode de vie ?

 Maigrir est souvent lié dans nos esprits à privations, interdits et frustration. Comme si le poids que nous avons en trop était une faute et que le régime était notre punition.
Mais manger équilibré et sainement est tout sauf une punition, car aucun aliment n’est, à dose raisonnable, néfaste pour la ligne.
On peut perdre du poids en conservant un peu de chocolat/charcuterie/vin/pizza dans son alimentation. Le tout est de les intégrer intelligemment à son régime.
Ainsi, si vous ne pouvez pas vous passer de chocolat, vous pourrez en prendre un peu tous les jours ou presque, mais à côté de ça vous devrez faire des concessions sur la confiture du matin ou la crème dessert du dîner. De même, vous pourrez intégrer une pizza au restaurant de temps en temps si vous évitez les anti-pasti en entrée et le tiramisu en dessert.

 Comment réagir lors de réels excès ?

 Il vous arrivera forcément, un jour ou l’autre, de faire de vrais excès lors d’occasions (repas festifs, buffets, coktails etc …), ou tout simplement d’une grosse fringale ou envie.
Il y a alors plusieurs façons de réagir à cet écart :
 - règle numéro 1 : ne pas culpabiliser ! L’écart est inévitable car l’être humain est l’objet de tentation et n’est pas infaillible. De plus, un écart savouré, apprécié et assumé,  sera toujours moins néfaste qu’un écart suivi de culpabilité.
En effet, la culpabilité a bien souvent comme conséquence une dévalorisation avec un raisonnement du type : j’ai fait un écart, je n’ai pas volonté, je n’y arriverais jamais,  au point où j’en suis … et ce qui était un simple écart « rattrapable » peut alors devenir un véritable dérapage difficile à gérer et surtout un état d’esprit.
 Alors qu’assumer son écart permet d’avoir assouvi son envie ou sa tentation avec plaisir, et ainsi que l’envie ne reste pas latente et ne tourne pas à l’obsession.

 - si l’écart reste raisonnable, que vous avez un bon métabolisme naturel et que vous suivez un régime peu restrictif : 
il y a toutes les chances pour que celui-ci n’ai pas de conséquences sur la balance. C’est l’apanage des régimes souples, contrairement aux régimes très restrictifs pour lesquels le moindre écart risque d’avoir des conséquences sur le poids.
La seule règle à respecter : attendez que la faim se manifeste de nouveau pour manger, quitte à décaler le repas suivant ou de sauter un repas.

 l’écart peut aussi avoir pour conséquence de freiner un peu l’amaigrissement. Vous pouvez tout à fait en prendre votre parti et vous dire que c’est le prix à payer pour s’être fait vraiment plaisir. N’oubliez pas qu’un amaigrissement « lent » et avec moins de privations, a toutes les chances d’être stabilisé aisément et d’être définitif !

 - Vous pouvez enfin décider de « compenser » l’écart de régime sur le repas, voire la journée, suivant. Ainsi, si les écarts ont été vraiment important (par exemple : repas de fêtes de fin d’année), vous pouvez le compenser en suivant le lendemain une journée plus légère (généralement, ce ne sera pas au prix de faim ou de frustrations, dans la mesure où l’organisme vient de faire le « plein » de calories et de plaisir).

Le principe de cette journée de « compensation) étant : peu ou pas de pain/féculents (à part une petite portion au petit déjeuner), pas de sucre ou de produits sucrés, peu de graisses (une cuillère par repas) et pas d’alcool. Le repas type étant donc sur ce modèle : poisson/viande ou jambon maigre + légumes verts, potage ou crudités + laitage non sucré.

Alors surtout n'oubliez pas : le plaisir est un convive de choix, mettez le toujours à l'honneur à votre table!


Thursday, 13 August 2015

Feuille de cassis, amie des articulations

La feuille de cassis, une véritable amie de nos articulations ! C'est un  grand classique en Europe depuis des siècles. L'on utilise les très jeunes pousses vertes pour les bienfaits qu'elles apportent lors de douleurs articulaires, raideurs articulaires et inflammation.

Les bourgeons et les feuilles du cassis contiennent des polyphénols, de puissants antioxydants, comme les flavonoïdes, connus pour leurs propriétés anti-inflammatoires. Ils régulent aussi la production de cortisol, une hormone qui diminue naturellement l'inflammation.

Par leur action diurétique, les feuilles de cassis vont permettre de drainer l'organisme en général et les articulations en particulier, des déchets responsables des troubles articulaires. C'est par ce mécanisme de drainage, que la feuille de cassis est efficace et utilisée depuis des siècles pour les problèmes de goutte. 

L'idéal est d'améliorer dans le même temps l'alimentation, en évitant viande, charcuterie et sucre et en privilégiant les légumes verts et en buvant tout au long de la journée.

Retrouvez la feuille de cassis dans notre produit exclusif : Flex, contenant d'autres plantes bénéfiques pour les articulations, .

http://www.vitanutrition.hervem.com
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Ces informations ne remplacent pas l'avis d'un médecin. N'arrêtez jamais vos médicaments sans l'avis de votre médecins. La santé ne repose pas sur la prise d'un aliment "miracle" mais sur l'adoption d'une alimentation équilibrée et d'un mode de vie sain.

Harpagophytum, amie des articulations

Autre nom: Griffe du diable, on utilise la racine séchée de cette plante des déserts d’Afrique du sud.

Découvert par les occidentaux en 1907 par un Allemand, celle plante est traditionnellement utilisée par les tribus locales pour résoudre les problèmes articulaires et digestifs.

L'Harpagopthytum est la plante par excellence utilisée aujourd'hui en Europe pour agir sur les douleurs articulaires, arthrose et arthrite et même tendinite. La griffe du diable va redonner plus de flexibilité, plus de mouvement et donc plus de liberté.
C'est une plante que l'on peut semble t-il utiliser en toute sérénité durant une longue période de plusieurs mois.

L'idéal est d'améliorer dans le même temps l'alimentation, en évitant viande, charcuterie et sucre et en privilégiant les légumes verts et en buvant tout au long de la journée.
Moins connu, l'Harpagophytum est aussi redoutablement efficace dans les problèmes de digestion et d'appétit. "En 1989, la Commission E allemande a approuvé l'usage de la racine de la griffe du diable pour traiter le manque d’appétit et la dysepsie, ainsi que pour contribuer au traitement des troubles dégénératifs du système locomoteur (squelette, muscles, articulations). En 1996, l'ESCOP a également reconnu son efficacité pour traiter le manque d'appétit et la dyspepsie, de même que pour contrer la douleur accompagnant l'arthrose et la tendinite." http://www.passeportsante.net
Comme la plupart de plantes digestives et apéritives, l'Harpagophytum est particulièrement amère et c'est cette amertume qui augmente les sécrétions digestives permettant l'ouverture de l'appétit et une meilleure digestion.


Retrouvez l'Harpagophytum dans notre produit exclusif : Flex, contenant d'autres plantes bénéfiques pour les articulations, . 

http://www.vitanutrition.hervem.com
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Ces informations ne remplacent pas l'avis d'un médecin. N'arrêtez jamais vos médicaments sans l'avis de votre médecins. La santé ne repose pas sur la prise d'un aliment "miracle" mais sur l'adoption d'une alimentation équilibrée et d'un mode de vie sain.

Boswellia, ami des articulations

Plus connu sous le nom "arbre à encen" et "encen Oliban", le Bowellia est la plante Ayurvédique des articulations. L'Ayrvéda est la médecine la plus ancienne sur Terre, une médecine d'exception, une médecine holistique.
En Inde, le Boswellia est traditionnellement utilisé pour agir contre l’inflammation des articulations, du tube digestif et des voies respiratoires. C'est la plante majeure contre les douleurs rhumatismales.

En chine, le Boswellia est aussi utilisé depuis des millénaires, et là encore pour ses effets bénéfiques sur les problèmes articulaires, mais aussi ecchymoses et autres blessures cutanées.

La Boswellia est actuellement très utilisée à travers le monde, essentiellement pour ses effets de réduction du gonflement des articulations, de  l'inflammation que l'on doit à ses acides boswelliques: Inflammation des intestins (maladie de Crohn, colite ulcéreuse) et des articulations. Le boswellia est aussi de plus en plus utilisé par les asthmatiques en raison de ses effets bénéfiques sur la diminution des constrictions des bronches.

L'idéal est d'améliorer dans le même temps l'alimentation, en évitant viande, charcuterie et sucre et en privilégiant les légumes verts et en buvant tout au long de la journée.

Retrouvez l'extrait de Boswellia dans notre produit exclusif : Flex, contenant d'autres plantes bénéfiques pour les articulations,

http://www.vitanutrition.hervem.com

Ces informations ne remplacent pas l'avis d'un médecin. N'arrêtez jamais vos médicaments sans l'avis de votre médecins. La santé ne repose pas sur la prise d'un aliment "miracle" mais sur l'adoption d'une alimentation équilibrée et d'un mode de vie sain.